La plantation bananière Sociedad Agrícola Prieto en Équateur

place/pays
Machala, Ecuador EC

FLO-ID
1539

Forme d'organisation
Plantation

surface
189 ha

production
8'868 t

fondation
1995

certificat
2001

Ouvriers / ouvrières
236


 

Des projets haut de gamme réalisé Fairtrade

Hausses de salaire:


Les salaires ont pu être augmentés de USD 4 à 6 par semaine.



Alimentation:


Un magasin a été mis en place, proposant des articles à prix avantageux pour les besoins de tous les jours.



Programme de santé (pharmacie, soutien pour l’assurance santé)



Microcrédits:


Les personnes qui travaillent depuis au moins sept ans chez Prieto bénéficient d’une aide pour construire leur propre maison.



Education:


Soutien financier à l’achat de matériel scolaire pour les enfants des employés.

 

Le travail est le même que dans les autres plantations, mais El Prieto a de meilleures prestations sociales, par exemple un programme de santé.

Francesco Oliwo, ouvrier

"Les travailleurs sont plus qu'une priorité pour moi. Il m'est important qu'eux et leurs familles se portent bien"

Il fait humide et chaud, une chaleur tropicale et un vieux poste de radio émet les derniers tubes à la mode en Equateur. Nous sommes invités sur la plantation de bananes « Grupo Agricola Prieto » non loin de la ville de Machala au sud –est de l’Equateur. Près de 300 travailleuses et travailleurs cueillent les bananes, testent leur qualité, les lavent, les pèsent et les emballent. Même le petit autocollant Fairtrade que l’on retrouve sur les bananes en Suisse est collé ici. Machala est « la capitale de la banane ». C’est de son port : Puerto Bolivar, que partent les bananes à destination du monde entier. Fondée en 1996, la coopérative est dirigée par la deuxième génération, Pablo Prieto. D’une surface de 200 hectares, soit 4 plantations, elle s’est spécialisée dans la production de bananes biologiques et depuis dix ans, Fairtrade. « Le commerce équitable est plus qu’actuel » déclare Pablo Prieto qui est fières de sa plantation. « Les travailleurs sont plus qu’une priorité pour moi. Il m’est important qu’eux et leurs familles se portent bien ». Selon lui, si les collaborateurs sont heureux, la qualité des bananes n’en sera que meilleure. Et il semble bien que les travailleurs et travailleuses soient satisfaits. A 48 ans, Asterio Sanmartin, qui est depuis cinq ans le président du comité de travailleurs est fier de s’occuper des droits et de la formation du personnel. A la question de savoir quel est son rêve, il répond : « une grande partie de mon rêve est la sécurité que j’ai en travaillant ici. Et puis en devant représentant des travailleuses et travailleurs, mon rêve s’est réalisé.

 

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